La Turquie veut investir dans l'industrie automobile iranienne

"Ankara ne cherche pas seulement à vendre ses produits en Iran, mais aussi à investir dans le pays", a affirmé dimanche Alper Kanca, président de l'Association turque des producteurs de pièces et composants automobiles.

Les entreprises turques et iraniennes sont en compétitions dans certains secteurs de l'industrie automobile, une situation qui pourrait en fait s'avérer très utile pour faire progresser leur partenariat dans ce domaine, a indiqué M. Kanca en marge de la 4e Conférence internationale de l'industrie automobile d'Iran (IAIIC), qui se tient actuellement à Téhéran.

Principalement tournée vers la vente et les services après-vente, l'IAIIC s'est ouverte dimanche dans la capitale iranienne, et a attiré la participation de quelque 400 entreprises étrangères, venues de pays comme la France, la Turquie, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, le Japon, la République de Corée et la Chine.