Il n’y a pas de solution en Syrie en dehors du cercle politique

Le président du mouvement des réformes et de l'unité, le cheikh Maher Abdel Razak a déclaré que la crise syrienne est une crise du monde arabe et islamique dans son ensemble, rappelant qu’il n’y a pas de solution en Syrie en dehors du cercle diplomatique et politique, soulignant que ce qui est prévu n’est pas uniquement la chute du gouvernement syrien mais plutôt la chute du projet de l’unité islamique afin d’empêcher son accomplissement et son développement.

Dans une interview exclusive à l’agence de presse Taghribnews, Cheikh Abdul Razak a évoqué les élections
la loi électoral des années 60 est l'une des pires lois qui s’est appliquée au Liban
législatives libanaises disant il est nécessaire que les élections législatifs se déroulent en temps prévu avec une nouvelle loi électrode qui garantit la représentation juste des citoyens au sein du parlement, ajoutant que "nous voulons que les députés élus reflètent la voix du peuple et qui aillent, la foi, la pensée et la vision claires antisioniste et pro-arabes et non pas des députés aux principes confus "

D'autre part, Cheikh Abdul Razzaq a expliqué que «la loi électoral des années 60 est l'une des pires lois qui s’est appliquée au Liban et qui consacre le principe de gangs", soulignant que "si le parlement ne parvient pas un nouveau projet de loi électorale il est préférable
nous voulons que les députés élus reflètent la voix du peuple et qui aillent, la foi, la pensée et la vision claires antisioniste
que la date des élections soit reportée jusqu'à ce qu’il trouve la loi nécessaire qui préserve l’union national et rejette les divisions sectaires ».

En outre, Cheikh Abdul Razzaq a souligné que le film islamophobe et les actes qui portent atteintes à l’islam et au prophète Mohammad (P) sont des actes qui visent non seulement le saint prophète et la religion mais toute la nation arabo-musulmane et tous les musulmans, ajoutant que" ces actes et cette offensive nécessites que la Oummah islamique s’unit et se révolte et ce qui a été fait jusqu’à présent n’est pas à la hauteur du crime commis, saluant tous ceux qui se sont révoltés au Liban et en Iran et dans tous les pays, ajoutant, nous les considérons comme les libéraux de cette nation et ses fruits. "

"Il n’y a pas de solution en Syrie en dehors du cercle politique"