Réagissant à ces affirmations, le porte-parole du ministère de la Défense, le général de brigade Turki al-Maliki, a déclaré dimanche que son pays n'avait pas participé aux raids israéliens visant la ville yéménite de Hodeidah samedi.

Il a en outre souligné que l'Arabie saoudite ne permettrait à aucune partie de violer son espace aérien.

Des avions de guerre israéliens ont lancé samedi une série de frappes aériennes ciblant la province yéménite de Hodeidah, sur la côte de la mer Rouge.

L’agression a visé une raffinerie de pétrole, provoquant un incendie massif visible à des kilomètres de distance.

Après l'attaque israélienne sur le sol yéménite, le porte-parole de l'armée du pays arabe, Yahya Saree, a déclaré que les forces armées yéménites n'hésiteraient pas à riposter aux frappes israéliennes sur le port d'Hodeïda.

S'exprimant en réaction aux frappes aériennes du régime sioniste israélien contre un dépôt pétrolier et des installations électriques dans la ville de Hudayada samedi, Saree a déclaré que « le Yémen est prêt à une longue guerre avec le régime israélien jusqu'à ce qu'il arrête l'attaque sur la bande de Gaza ».