C'était son premier discours devant les législateurs américains depuis près d'une décennie et le premier depuis le début de la guerre génocidaire du régime sioniste après l'opération du Hamas du 7 octobre.

Le discours de Netanyahu intervient à un moment critique : les États-Unis sont au milieu d'une année électorale chaotique et l'administration Biden continue de pousser les négociateurs vers un accord de cessez-le-feu qui pourrait mettre fin à la guerre à Gaza, où plus de 39 000 personnes ont été tuées. , selon le ministère de la Santé dirigé par le Hamas.

"Mes amis, je suis venu vous assurer aujourd'hui d'une chose : nous gagnerons", a déclaré Netanyahu, debout à l'endroit même où le président Franklin D. Roosevelt a prononcé son discours sur la "Journée de l'infamie" après l'attaque de Pearl Harbor.

Plus tard, il a ajouté : « Pour que les forces de la civilisation triomphent, l’Amérique et Israël doivent s’unir. »

Le régime israélien mène une guerre génocidaire implacable contre la bande de Gaza depuis le 7 octobre, en réponse à la tempête al-Aqsa, une opération de représailles organisée par les groupes de résistance du territoire.

L’attaque militaire brutale a jusqu’à présent coûté la vie à au moins 39 670 Palestiniens, pour la plupart des femmes et des enfants, mais elle est loin d’avoir atteint l’objectif du régime consistant à chasser la résistance du pouvoir dans le territoire côtier.

Depuis le début de la guerre, des groupes de résistance originaires du Liban, d’Irak et du Yémen ont également mené des attaques de représailles de plus en plus audacieuses contre les territoires occupés et les intérêts israéliens en soutien aux Gazaouis touchés par la guerre.