A l’occasion du martyre tragique et de l’assassinat du chef supérieur et chef du bureau politique du mouvement Hamas, mon cher frère Ismail Haniyeh, et de ses compagnons, « je présente mes condoléances au nom de la résistance islamique et des familles de nos martyrs ».

« J’adresse mes condoléances et mes bénédictions à la direction du Hamas pour le martyre du leader estimé, Ismail Haniyeh », a ajouté Nasrallah.

L’objectif principal de l’ennemi était d’assassiner le commandant supérieur Fuad Shokr (Sayyed Mohsen), a-t-il déclaré, ajoutant : « J’adresse mes plus sincères condoléances et félicitations à toutes les familles des chers martyrs. »

Ce qui s’est passé à Dahiyeh est une agression plutôt qu’un assassinat. Quelques jours avant l’agression, l’ennemi a propagé que l’attaque serait une « réaction » (à l’incident de Majdal Shams), cette narration est totalement rejetée », a souligné le chef du Hezbollah.

L’agression contre Dahiyeh fait partie de la guerre américano-israélienne contre notre région, a-t-il déclaré, ajoutant : « L’ennemi israélien mène une grande campagne de tromperie et de falsification en accusant notre martyr (Sayyed Mohsen) d’être le « tueur d’enfants » à Majdal Shams. »

L’ennemi israélien a été prompt à porter des accusations sans fournir aucune preuve. « Nous avons catégoriquement nié toute responsabilité dans ce qui s’est passé à Majdal Shams, notre enquête interne précise confirme cette conclusion. »

« Nous avons assez de courage pour admettre que c’était notre erreur. »

« Israël » refuse d’accepter que ce qui s’est passé à Majdal Shams soit causé par un missile intercepteur israélien. Les accusations selon lesquelles nous sommes derrière ce qui s’est passé à Majdal Shams sont injustes et totalement rejetées, car elles visent à innocenter l’ennemi israélien. »

« Nous sommes dans une bataille ouverte sur tous les fronts, et nous sommes entrés dans une nouvelle phase », a-t-il affirmé.

Les Israéliens s’imaginent-ils vraiment qu’ils tueraient Ismail Haniyeh à Téhéran et que l’Iran resterait muet, a-t-il dit, notant que l’ennemi doit attendre la colère et la vengeance du peuple honorable de cette nation.

L’assassinat des dirigeants n’a aucun effet, l’expérience montre que la résistance grandit et prospère, a-t-il ajouté.