Le Dr Hamid Shahriari, secrétaire général du CMREI, lors d'une réunion avec "Mohammed Moezni", le directeur de l'Université de Chiraz. , a évoqué l'histoire des activités de ce Conseil et de ses différents secrétaires généraux et a déclaré : « Ce Conseil s'est centré depuis longtemps sur les relations entres les érudits. Depuis environ deux ans, nous travaillons sur les relations universitaires à Téhéran dans le but de mettre en réseau les élites.
Nous avons élaboré une conception basée sur le concept général de la dignité humaine afin de tenir des conférences tournantes dans le monde islamique sur cette base, a-t-il suivi.
Après l'accord que nous avons eu avec le directeur de l'Université de Téhéran, de l'Université Adyan, de l'Université Allameh, de l'Université Shahid Beheshti et de l'Université Mazaheb, etc. Nous avons donné la priorité aux deux pays d'Irak et de Turquie et ciblé trois à cinq universités de chacun de ces pays pour les connecter à ce réseau d'élite, a-t-il souligné.
La première phase de cette conférence se tiendra le 21 novembre à Mashhad, et les présidents des universités de Bagdad et de Turquie seront présents à cette conférence. Dr. Shahriari a souligné : Notre projet est de réunir les présidents de 20 universités dans une table ronde, de leur présenter notre plan et d'évoquer les problèmes thématiques et de terrain du monde islamique, a-t-il poursuivi.
Il est possible d'obtenir des articles et d'inscrire des membres du corps professoral sur ce site. Dans la deuxième phase, nous prévoyons de faire participer à ce projet cinq universités prestigieuses du pays, dont Chiraz, Tabriz et Mashhad, a continué le secrétaire général du CMREI.
Le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques (CMREI) a à son ordre du jour une conférence internationale annuelle sur l'unité islamique, et de nombreux invités étrangers participent à cette conférence. Cette action dure depuis 38 ans et ce qui s'est passé au cours de ces années a été d'élever le niveau de qualité des invités plutôt que la quantité, a-t-il expliqué.
Lors des réunions du conseil académique de la Conférence de l'unité islamique, nous avons réalisé que nos universités ont une capacité scientifique très élevée, mais que la majorité d'entre elles se concentrent sur l'enseignement et l'apprentissage, alors que cela ne devrait pas être le cas. En fait, la relation entre le gouvernement et les professeurs des universités n’est pas exploitée comme elle devrait l’être, et les accumulations du corps professoral ne sont pas utilisées de manière optimale, a-t-il poursuivi.
Lors des réunions que nous avons eues avec les membres du corps professoral et des discussions sur la question de l'unité, nous avons vu qu'ils parlaient de manière très experte sur cette question et cela est devenu pour nous une incitation à créer un réseau à l'intérieur du pays et après a été consolidé, nous devons être présents dans le monde islamique et lui fournir des plateformes appropriées, a-t-il ajouté.
