Les frappes de lundi ont également conduit à la destruction de 12 sites et dépôts de munitions utilisés par les terroristes, en plus de l’abattage d’un de leurs drones.

Selon des sources locales, environ 15 000 volontaires ont, entre-temps, rejoint les rangs de l’armée syrienne à Hama en quelques heures.

L’armée serait également renforcée par des combattants de la Résistance et des combattants antiterroristes des mouvements de Résistance régionaux, y compris ceux originaires de l’Irak voisin, selon PressTV.

Par ailleurs, des sources russes ont rapporté que le HTS se préparait à déployer des substances toxiques à Alep et Idlib – une pratique qui a eu lieu à plusieurs reprises à la suite de l’apparition du terrorisme takfiri en Syrie en 2014, et qui a été utilisée par les États-Unis, le Royaume-Uni et la France comme prétexte pour soumettre le pays arabe à des frappes de missiles intenses et meurtrières à plusieurs reprises.

Les sources ont déclaré que les matériaux avaient été transportés à Alep et Idlib à l’aide d’ambulances exploitées par les Casques blancs, un soi-disant groupe d’aide soutenu par l’Occident et Israël.

Les terroristes takfiri dirigés par Hayat Tahrir al-Sham ont lancé une attaque à grande échelle dans les provinces d’Alep et d’Idlib dans le nord-ouest de la Syrie mercredi, s’emparant de plusieurs zones, selon les rapports.

Depuis lors, les forces gouvernementales syriennes se sont engagées dans des affrontements féroces avec les terroristes pour regagner du terrain.

La Syrie est en proie à des mouvements terroristes soutenus par l'étranger depuis mars 2011, Damas affirmant que les États occidentaux et leurs alliés régionaux aident les groupes terroristes à semer le chaos dans ce pays arabe.