Au cours de la conversation téléphonique, les deux parties ont discuté du dernier état de la coopération entre l'Iran et l'AIEA dans le cadre des accords de garanties.

Critique vivement certains membres du Conseil des gouverneurs de l'AIEA pour avoir pris des « mesures non constructives » qui ont empêché la visite de Grossi en novembre à Téhéran d'aboutir à des progrès dans les tentatives des deux parties de résoudre les questions en suspens concernant l'accord de garanties globales de l'agence, le haut diplomate iranien a souligné que la République islamique était toujours prête à poursuivre une coopération constructive avec l'organisme de surveillance nucléaire des Nations Unies.

La République islamique d'Iran, qui n'a pas hésité à réagir de manière décisive à de telles mesures, est toujours prête et disposée à coopérer de manière constructive avec l'AIEA dans le cadre technique défini, a souligné Araghchi.

Rafael Grossi a pour sa part souligné la détermination de l'agence à interagir sérieusement avec l'Iran, déclarant que dans le cadre de ses fonctions et pouvoirs, il a tenu et tiendra des consultations avec d'autres parties pour créer une atmosphère appropriée pour résoudre les problèmes existants.