Le chef du pouvoir judiciaire iranien, Hojjatoleslam Mohseni Ejei, s'est entretenu dimanche à Téhéran avec Khalifa bin Saeed Khalifa Albusaidi, le juge en chef de la Cour suprême d'Oman et la délégation qui l'accompagne.

Au cours de la réunion, le chef du pouvoir judiciaire iranien a exprimé sa satisfaction envers le gouvernement du Sultanat d'Oman, le peuple, les universitaires et les intellectuels pour leur position sur l'opposition aux crimes odieux du régime sioniste criminel contre le peuple palestinien, affirmant que la position positive du gouvernement omanais restera sans aucun doute dans l'histoire.

En raison du soutien sans faille de certains pays occidentaux, les sionistes ont jusqu’à présent martyrisé environ 50 000 Palestiniens, dont des enfants innocents, depuis le début de la guerre le 7 octobre 2023, a-t-il déploré.

En outre, le régime sioniste criminel a commis des crimes au Liban en massacrant des habitants du pays arabe, a poursuivi Ejei, soulignant qu’il [le régime sioniste] lance désormais des frappes aériennes contre le peuple syrien en violation de l’intégrité territoriale du pays et a ciblé toutes les infrastructures défensives et stratégiques du pays musulman.

« Nous n’avons aucun espoir dans les soi-disant forums internationaux d’arrêter la machine de guerre du régime sioniste, mais nous devons savoir que si nous nous unissons et restons fermes ensemble, la machine de guerre du régime sioniste sera arrêtée. »

Le chef du pouvoir judiciaire iranien a qualifié les relations entre l’Iran et Oman de « de longue date et amicales » dans divers domaines et a souligné la nécessité d’élargir les relations juridiques et judiciaires entre les deux pays voisins.

Le président de la Cour suprême du Sultanat d'Oman a pour sa part déclaré que son pays accorde une grande importance à ses relations avec la République islamique d'Iran dans tous les domaines.

Plus tôt dimanche, Khalifa bin Saeed Khalifa Albusaidi, président de la Cour suprême d'Oman, a été reçu pour une réunion avec le président du Parlement iranien Mohammad Bagher Ghalibaf au siège du parlement.