En présence des parlementaires Michel Moussa et Ali Osseyran, il s'est étonné " des tentatives de certains au niveau interne d'inventer de nouvelles affaires pour détourner l'attention de l'ennemi véritable du Liban".
"Ces tentatives visent à impliquer le Liban dont l'ennemi le plus dangereux est Israël", a-t-il dit.
Et d'ajouter que "les constantes nationales, la stabilité et l'équation tripartite armée - peuple- résistance, devraient être préservées", insistant sur " la nécessité du dialogue notamment en cette période".
M. Qobeissy a souligné que "les affaires de développement globales doivent être une priorité, notamment les exigences des citoyens et des travailleurs".
Concernant les informations véhiculées par la presse sur le sort de l'imam Moussa Sadr, il a assuré que "ces informations ne se fondent sur aucune preuve tangible qui dévoile les dessous du crime du siècle commis par Moammar Kadhafi".
Il a également appelé le nouveau régime libyen "à faire chuter tout complot relatif à l'affaire de l'imam Sadr et ses compagnons".
"L'imam doit revenir", a-t-il finalement clamé.