Une partie de l’activité de l’usine PSA Peugeot Citroën de Vesoul suspendue au moins jusqu’en septembre en raison de l’absence de commandes de pièces détachées de l’Iran, a-t-on appris jeudi de sources syndicales.
300 ouvriers français suspendus pour satisfaire l’entité sioniste.
APT-Beyrouth
9 Apr 2012 - 16:43
Une partie de l’activité de l’usine PSA Peugeot Citroën de Vesoul suspendue au moins jusqu’en septembre en raison de l’absence de commandes de pièces détachées de l’Iran, a-t-on appris jeudi de sources syndicales.
« Il y aurait une estimation de reprise de l’activité et des expéditions en septembre », a indiqué Franck Don, délégué CFTC à l’issue d’un comité central d’entreprises extraordinaire. La semaine dernière, la direction avait confirmé la mise au chômage partiel de 220 salariés en Avril en raison de l’absence de flux à réaliser avec l’Iran, sans toutefois se prononcer sur les mois à venir. Selon Bruno Le merle (CGT), les quelques 300 salariés concernés par cet arrêt d’activité seront reclassées la mise à l’ écart de 300 intérimaires.
« La direction qui optait jusqu'à présent pour le chômage partiel a fait le choix de la suppression d’emplois », a-t-il déploré.
Ce n’est pas la situation en Iran qui est la source de ce chômage partiel, mais l’application par la France de sanctions unilatérales contre l’Iran, c'est-à-dire en dehors du champ d’application de résolutions de l’ONU, contrairement a ce que laisse entendre les medias.
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