De manifestations massives ont envahi le monde pour dénoncer les caricatures anti-islam et le film blasphématoire sur le Saint Prophète Mohammad, alors que l'Occident, les américains et les sionistes refusent de retirer le film sous prétexte de la liberté et osent encore une fois publier des caricatures diffamatoires !

La réponse des musulmans était a la hauteur des actes blasphématoires la réponse qui a été islamique et internationale a choqué tous ceux qui ont osé s’attaquer a l’islam et a son prophète, de plus ces tentatives qui visaient a semer la sédition et la confrontation entre les musulmans et les chrétiens sont tombés a l’eau vu que la position des chrétiens a renforcer le lien islamo-chrétien unité, et cela confirme que la lumière du prophète Mohammad ne s’éteint pas a cause de tel actes insensés. ..
Les orateurs de la plate-forme du vendredi au Liban ont signalé que ce qui s'est passé, est un jeu sioniste et américain qui s’est voué a l’échec..

Pour sa part le vice-président du Conseil suprême islamique chiite Cheikh Abdel Amir Kabalan a dénoncé les actes abusives envers l’islam et le Prophète Muhammad (paix soit sur lui) disant : « le Prophète est une garantie tout en garanti aux habitants de la terre et du ciel et il est le lien qui relie la terre au ciel, c’est un exemple d’amour et bonté humaine… »

Cheikh Kabalan a également confirmé que ceux qui ont osé porter atteinte au prophète ignorent que le prophète est protégé et infaillible, et ne peuvent en aucune manière lui porté atteinte, ils ne font du mal qu’a eux même et seront jugé le jour du grand jugement.

De son cote, le président de l'Association « kawlouna wal amal » au Liban, le cheikh Ahmad Al-Qattan a appelé certains politiciens au Liban à réfléchir aux répercussions négatives de leurs positions envers le film islamophobe sur l'opinion publique musulmane avant de l’adopté.

Dans un autre contexte, il a signalé qu’il « n'a pas été surpris par la campagne mené par le ١٤ Mars contre l'Iran et le Hezbollah ».

Le Chef du conseil législatif du hezbullah cheikh Mohammad Yazbek a déclaré que la haine des fanatiques ne pourra pas porter atteinte au rayonnement du prophète Mohammad.
Sur le plan libanais, il a souligné que l'unité nationale est le seul moyen d’aboutir a un État fort qui garantie la sécurité des citoyens, appelant le gouvernement à poursuivre les malfaiteurs et les punir afin de mettre un terme au chaos.

Pour sa part, Le chef du mouvement des réformes et de l'unité Cheikh Maher Abdul Razzaq a dénoncé certaine position libanaise qui ont condamné les révoltes des musulmans et leur actions au lieu de condamner le film blasphématoire.

À son tour, le Mufti jaafari Cheikh Ahmed Kabalan, s’est demandé «pourquoi ceux qui osent critiquer ou douter du présumer « Holocauste » juif, sont emmené en justice et condamné alors que ceux qui osent porter atteinte a la religion de plus d’un milliard quatre cent mille musulmans sont protégés sous prétexte de la liberté d’opinion ?

Appelant les gouvernements islamiques à prendre des positions fermes face a de tels actes, appelant à une conférence internationale pour décréter des lois interdisant criminalisant ces tentatives suspectes, provocantes et insultante envers toutes les religions et les messages divins».

Pour sa part, cheikh Hamoud a condamné la position des français et des états occidentaux envers les manifestations qui dénoncent l’atteinte a l’islam et au Prophète (P).

En outre, il a noté que cette crise a révélé beaucoup de points dissimulés auparavant, elle a clairement montré la position odieuse de l’occident vis-à-vis des musulmans et de leur sentiment. La volonté des sionistes et des américains de semer la sédition entre les peuples arabes de confessions différentes. D’autre part cette crise a mis en relief la position ferme des musulmans et leurs rattachement a leur prophète et leur religion, le rejet des tentatives américano-sionistes visant a semer la sédition, et le renforcement des relations islamo-chrétiens

Sayyed Ali Fadlallah a souligné que les actes blasphématoires ne sont ni innocents ni passagers, mais font partie d'une guerre culturelle destinée à ternir l'image de l'islam comme religion et un mode de vie.