Certains partis politiques au Liban veulent un passage sûr pour les insurgés syriens

Au cours d'une célébration commémorative au sud du Liban, cheikh Kaouk a déclaré que «ceux qui a soulevé la bannière de la souveraineté et qui ont soulevé le slogan du « Liban d'abord » sont ceux qui ont poussé le Liban à faire partie de l'agression contre la Syrie. » 

Affirmant que «ceux qui se sont rassemblés en Juillet 2006 pour condamner la résistance libanaise, se sont réunis aujourd'hui pour renverser la résistance syrienne." 

Le cheikh a ajouté, " le président Assad a accompli toutes les réformes nécessaires malgré cela la Ligue arabe ou de l'opposition syrienne, ne disent pas un mot sur les réformes accomplies ». 

Il a conclu que malheureusement l'argent arabe n'a pas été dépensés pour la reconstruction de Gaza ni pour armer la résistance alors qu’il est aujourd’hui dépenser pour semer la division en Syrie.

Pour sa part, le Président du Conseil exécutif du Hezbollah Sayyed Hashem Safi al-Din, a souligné que «la Syrie restera dans la ligne de la résistance », ajoutant que « ceux qui ont parié sur le projet des États-Unis leurs intentions commencent à se dévoiler en Libye, en Irak, au Yémen et en Egypte, ils veulent appliquer une fragmentation stratégie.»

Sayyed Safi al-Din, a critiqué « le silence du monde face à ce qui se passe en Palestine et à Gaza », soulignant que "la validité de n'importe quelle position dépend de sa relation avec la cause Palestine (Jérusalem) et avec Gaza. »

Son éminence a souligné qu’il "existe deux lignes dans le monde arabe: la ligne de la soumission aux projets des États-Unis et la ligne de la résistance", signalant que la Syrie et le Liban appartiennent à la ligne de la résistance.