Connelly a achevé sa tournée dans le territoire libanais annonçant que l’idée de l’intervention militaire en Syrie est exclu, cette annonce coïncide avec l'accusation russe de la Libye de former les militants de l’opposition syrienne qui causera une grave division au sein du peuple syrien.
De plus les propos d’Obama lors de son discours à «l'AIPAC» qui soutienent fortement et clairement son cher partenaire israélien « Cher Israël ne craignez rien », ont été dénoncés. Les orateurs ont signalé que de nombreux dirigeants arabes ont préféré le silence face au discours d’Obama.
Pour sa part Sayyed Fadlallah a signalé que « Nous sommes amèrement déçu de l'absence des positions dans le monde arabe et musulman dénonçant le discours d’Obam à l’AIPAC. »
Mettant le point sur la gravité de ce qui se passe en Palestine à partir de la judaïsation de Jérusalem et l’assassinat des dirigeants de la résistance palestinienne, et du massacre des palestiniens.
Cheikh Mohammed Yazbek, a dénoncé la visite de l’ambassadrice américaine chez les hauts responsables libanais discutant des affaires internes du Liban.
Il a également salué le peuple iranien qui a participé massivement aux élections iraniennes, ajoutant que le taux de participation et de vote forme une gifle dans la face du grand Satan et les forces de l'arrogance mondiale.
D’autre part, lors d'un rassemblement des oulémas musulmans, cheikh Maher Mezher a signalé les pays arabes et islamiques doivent « serrer les rangs face à l'ennemi israélien ».
Alors que Cheikh Ali Yassin, a ajouté sa voix à la voix du patriarche al-Raii disant que « nous connaissons nos intérêts et l'intérêt de notre pays, et nous n’avons besoin de personne pour nous dire quoi faire ».
Le Vice-président du conseil supérieur islamique chiite Sheikh Abdul Amir Kabalan a souhaité à son tour «que le gouvernement soit au service des refugiés syriens, sans différencier entre eux, rappelant que, nos frères syriens ont reçu nos frères libanais pendant la guerre israélienne."
Son éminence Cheikh Afif Nabulsi a souligné que «l'un des plus grands risques auxquels nous mettons en garde les peuples arabes s’est l'exploitation de l'occident des révolutions arabes, et s’est ce qui s’est passé en Libye, qui commence à se diviser en plusieurs fédérales. »
Pour sa part, Sheikh Ahmad Al-Qattan, a condamné le "discours de Saad Hariri et de Fouad Siniora qui se sont mis contre la Syrie a laquelle nous sommes fortement liés par l’histoire et la géographie. "
À son tour, le Mufti al-Jaafari Cheikh Ahmed Kabalan a décrit ce qui se passe à la frontière entre le Liban et la Syrie de "très dangereux".