La Syrie était toujours à nos côtés dans les plus sombres des circonstances
APT-Beyrouth
Une nouvelle phase sanglante imposée en Syrie s’est traduit par la dernière attaque terroriste, et la préparation d’une attaque sur le nucléaire iranien, en plus de la responsabilité de l'Etat libanais de contrôler ses frontières syriennes. Etaient les thèmes crucials des discours de la prière du vendredi.
Partagez le :
En parallèle, la poursuite de la révolution au Bahreïn, avec en parallèle l'escalade continue de la répression par les autorités, sous et l’attaque permanente des symboles religieux. En plus de la situation des Prisonniers palestiniens dans leur lutte pour la liberté et la dignité.
De là, les orateurs des sermons du vendredi au Liban ont condamné
l’attaque terroriste qui s’est produite en en Syrie, appelant la communauté internationale a se préoccuper de la situation syrienne à ce qui se passe dans la région arabe. Affirmant que les symboles sont une ligne rouge qui ne doit pas être franchi, les agressions de l'ennemi sioniste contre les prisonniers palestiniens sont alarmantes.
Cheikh Afif Nabulsi a souligné que la scène sanglante en Syrie prépare un objectif plus large celui de saper la résistance au Liban et la destruction des sites nucléaires dans la République islamique d'Iran, ajoutant que "l'entité sioniste à travers son unité national qu’il a formé s'apprête à une cible dangereuses."
Président de l'Assemblée, « Kawlouna al-Amal », étudiant Cheikh Ahmad Qattan a appelé à son tour, "les trois dirigeants et le gouvernement à mettre fin à la contrebande d'armes en Syrie, afin de ne pas faire du Liban une base ou un corridor pour un complot contre notre voisin ", affirmant que "la Syrie était toujours à nos cotés dans les plus sombres des circonstances ».
Pour sa part, le mufti al-Jaafari Sheikh Ahmed Kabalan a souligné que le Liban et la région sont entrés dans l'une des étapes les plus difficiles et les plus dangereuses! Mufti a également mis en garde contre le risque de la division.
Pour sa part, Sayeed Ali Fadlallah a appelé à ne pas toucher les symboles religieux au Bahreïn, en raison des conséquences négatives, comme ce qui s’est produit avec le cheikh Issa Qassem, et tous les autres symboles religieux.
Sayyed Fadlallah a appelé également à la libération de tous les détenus et des prisonniers, appelant les autorités à revenir au dialogue et à écouter le peuple et d’appliquer leurs revendications légitimes.
D'autre part, Sayyed Fadlallah a exprimé sa crainte de la politique sioniste et la poursuite de l'oppression de l'ennemi pour parvenir à un véritable massacre dans les prisons où il ya des centaines de prisonniers palestiniens.
Le vice-président du conseil superieur islamique chiite Sheikh Abdul Amir Kabalan a appelé "la Ligue arabe et l'Organisation des Nations Unies et les organisations des droits humains à prendre une position ferme, et forte contre le terrorisme et les assassinats qui se passe sur le territoire arabe".