Les implications de la visite de Feltman et de Lieberman au Liban, sont évidente, et de nombreux partis appellent à épargner le Liban afin d’éviter le piège de la sédition américaine.
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Voici une manifestation flagrante de l'intervention américaine au Liban, traduit sur le terrain par des conflits sectaires et qui pourraient faire revenir à la mémoire à la guerre civile.
Après la visite du Secrétaire d'Etat adjoint au Liban, Jeffrey Feltman, et du sénateur pro-sioniste Joseph Lieberman envoyé par les États-Unis, au Liban, et en particulier dans la ville de Tripoli, le début d'un problème sectaire chiite-sunnite a apparu, s’est le plan de M. Filtman mis en œuvre, non seulement à Tripoli, mais aussi à Beyrouth.
Les affrontements ont éclaté dans divers régions de Tripoli, des jeunes de la communauté sunnite en colère contre l'armée libanaise se sont révoltés après l'assassinat du cheikh Abdul Wahid après qu'il a été abattu par des membres de l’armée pour avoir refusé de s'arrêter au poste de contrôle, il se dirigeait vers la ville de Halba à Akkar pour participer à la cérémonie qui se tient contre le régime en Syrie, emportant avec lui beaucoup d’arme.
Sur le champ de nombreuses régions libanaises ont témoigné de grande tension et de colère, des pneus ont été enflammés, et les routes coupées par les partisans du cheikh Abdul Wahid.
D’autre part, de violents affrontement ont opposé les partisans du parti du FUTUR d’une part qui prétendent toujours ne pas posséder une milice, et les partisans de parti «le courant arabe» dimanche soir dans les environs de Université arabe de Beyrouth, causant au moins deux mort et 18 blessés, et des dégâts matériels aux bâtiments, aux magasins et aux voitures, y compris la combustion du siège du parti « le courant arabe ».
Pour sa part, le commandement de l'armée libanaise a regretté l'assassinat du cheikh Abdul-Samad dans la ville de Alkwykhat à Akkar, évoquant les «sentiments les plus chaleureux de solidarité et de condoléances à leurs parents», en soulignant qu'il a formé une commission d'enquête des officiers supérieurs de la police militaire sous la supervision de l'autorité judiciaire compétente" pour enquêter pour le meurtre du cheikh Abdul-Samad.
D'autre part le calme relatif est revenu à la ville de Tripoli, la ville de Akkar, et la capitale Beyrouth avec la propagation de l'armée libanaise et patrouilles des forces de sécurité intérieure, en particulier dans les zones de tension.
Par ailleurs, Citant des sources sécuritaires, le quotidien libanais AlAkhbar a en outre révélé que la ville de Tripoli est désormais devenue le refuge des groupes de l’opposition armée. Selon ces sources, les chefs des groupes armés se promènent librement dans la ville et ont pour mission de superviser le transfert d’armes vers la Syrie, et la protection et le logement des terroristes syriens et arabes qui mènent des actes terroristes en Syrie.