Des sources diplomatiques ont affirmé à l’agence de presse « al-Manar al-Maqdissi » qu’un ancien diplomate européen a reçu « l’offre de prendre en charge le poste de l'envoyé spécial de l’ONU et la ligue arabe en Syrie », mais ce diplomate européen connu pour sa compétence, son expérience et ses connaissances sur le Moyen-Orient a conditionné son accord, d'obtenir des garanties de non-ingérence dans son travail de la part de certains pays hostiles à la Syrie, qu'il a décrit comme faisant partie de la « crise syrienne », et d’avoir la pleine liberté de choisir son équipe pour assurer la confidentialité de ses mouvements et d’éviter les fuites qui pourraient nuire à sa mission.
Selon les mêmes sources diplomatiques, ces exigences formulées par le diplomate européen ont provoquée son exclusion de la liste des noms proposés pour remplacer l’émissaire Kofi Annan, ce dernier avait pour sa part décidé de démissionner de son poste, après que certains pays aient refusé de coopérer positivement avec son plan des six points, approuvé au conseil de sécurité.