Au cours d'un entretien téléphonique avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov "a attiré l'attention de son interlocuteur sur les conséquences extrêmement graves d'une possible intervention militaire pour le Proche-Orient et l'Afrique du Nord où des pays comme l'Irak ou la Libye sont toujours déstabilisés", a indiqué Moscou.
Ces déclarations interviennent alors que les experts des Nations unies doivent entamer une mission d'inspection dans la zone, près de la capitale syrienne, théâtre mercredi dernier d'une attaque chimique présumée.