Le général Ahmed Gaïd Salah a plaidé ce 28 mai pour l’instauration d’un dialogue auquel prendrait part des «personnalités nationales» pour résoudre la crise politique. Il a revanche fermé la porte à une période de transition réclamée par la rue.
Le chef d’Etat-major de l’armée algérienne Ahmed Gaïd Salah n’en démord pas : la transition politique réclamée par les manifestants ne peut résoudre la crise politique dans laquelle est plongé le pays. «La priorité aujourd’hui est que chacun de nous croit en l’importance d’aller vers un dialogue productif qui permet de faire sortir notre pays de cette phase, relativement complexe, qu’il traverse et assure ainsi la voie vers la tenue des prochaines élections dans les plus brefs délais possible, loin, et je le dis, de périodes de transition aux conséquences incertaines, car l’Algérie ne peut supporter davantage de retard et de procrastination», a-t-il affirmé ce 28 mai dans un discours prononcé en marge d’une visite de travail à Tamanrasset (sud).
«Ce dialogue auquel les personnalités et les élites nationales fidèles à la nation et à son intérêt suprême sacré doivent participer. Le dialogue sincère et objectif lors duquel il sera question de l’évaluation des circonstances que vit le pays et de concessions réciproques pour le bien du pays», a-t-il en outre plaidé.
Le chef d’Etat-major de l’armée algérienne Ahmed Gaïd Salah n’en démord pas : la transition politique réclamée par les manifestants ne peut résoudre la crise politique dans laquelle est plongé le pays. «La priorité aujourd’hui est que chacun de nous croit en l’importance d’aller vers un dialogue productif qui permet de faire sortir notre pays de cette phase, relativement complexe, qu’il traverse et assure ainsi la voie vers la tenue des prochaines élections dans les plus brefs délais possible, loin, et je le dis, de périodes de transition aux conséquences incertaines, car l’Algérie ne peut supporter davantage de retard et de procrastination», a-t-il affirmé ce 28 mai dans un discours prononcé en marge d’une visite de travail à Tamanrasset (sud).
«Ce dialogue auquel les personnalités et les élites nationales fidèles à la nation et à son intérêt suprême sacré doivent participer. Le dialogue sincère et objectif lors duquel il sera question de l’évaluation des circonstances que vit le pays et de concessions réciproques pour le bien du pays», a-t-il en outre plaidé.