Dalal Abbas, penseur libanaise, a participé au premier webinaire international « Martyr Raïssi, inviteur à l'unité, homme de résistance », qui s'est tenu ce dimanche sous les auspices du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques (CMREI). Je présente mes condoléances à la suite du martyre de Seyed Ebrahim Raïssi, le président, et de Hossein Amir Abdolhian, le ministre des Affaires étrangères de la République islamique d'Iran.
M. Raïssi dépeint une image de la République islamique d'Iran indépendante qui ne transige pas sur ses idéaux au sein de la communauté internationale. Il s'est adressé aux États-Unis avec le ton combatif qu'il a appris de l'Imam Khomeyni (RA).
L'arrogance mondiale cherche toujours à mettre le peuple iranien à genoux et à le priver de ses droits. Alors que M. Raïssi cherchait à améliorer la situation économique de l'Iran, il a mené une politique étrangère basée sur les relations avec les pays voisins afin d'améliorer la région soumise à des attaques barbares, a-t-elle souligné.
Le Dr Amir Abdulhian, avant d'être élu ministre des Affaires étrangères sous la présidence de Raïssi , avait un historique d'activité politique. Il a renforcé ses relations avec le front international contre l'Amérique et s'est appuyé sur une stratégie d'attention portée à l'Est, a-t-elle poursuivi.
Amir Abdollahian, ou diplomatie de la résistance, était le secrétaire général de la Conférence internationale de soutien à l'Intifada palestinienne en 2016, et ses relations avec les dirigeants de mouvements de résistance tels que le Hezbollah, le Jihad islamique et le Hamas ont été enregistrées. , et nous avons tous été témoins de ses actions dans le sens de la coordination, a-t-elle marqué.
Le président et le ministre des Affaires étrangères n'étaient pas uniques à l'Iran et que le président et le ministre des Affaires étrangères étaient des résistants. L'Iran et l'axe de la résistance ont perdu l'exemple d'un président qui est le symbole d'un homme de gouvernement, de système, de droit et amoureux des idéaux. Il était de la Palestine et de la résistance, et avec le martyre d'Amir Abdulahian, nous avons perdu un diplomate qui était dévoué au droit et à la cause de la Palestine et de la résistance et qui soulevait la question de la Palestine dans les milieux internationaux a poursuivi cette penseur libanaise.
Que la miséricorde de Dieu soit sur ces deux grands hommes fidèles, puissants, honnêtes et sincères qui ont soutenu la question palestinienne et le peuple de Gaza et ont dit la vérité, sans craindre les reproches des accusateurs, a-t-elle ajouté.
