D’autre part le ministère syrien des affaires étrangères des émigrés a indiqué dans un communiqué que le président Bachar Al-Assad ne retirera pas ses forces armées déployées dans les villes syriennes avant d'obtenir des "garanties écrites" de l'opposition.
"Dire que la Syrie va retirer ses forces des villes à la date du 10 avril est inexact, l'émissaire international Kofi Annan n'ayant pas encore présenté de garanties écrites sur l'acceptation par les groupes terroristes armés de l'arrêt de toute forme de violences", affirme le communiqué. Les Nations unies avait fixé au 10 avril pour le retrait de l'armée des villes.
Affirmant que la Syrie refuse de s’engager à retirer ses forces armées des villes avant d’avoir une garantie écrite par les rebelles armées, vu ce qui s'est passé lors de la présence de la mission des observateurs arabes lorsque les forces armées se sont retirés des villes et les groupes armée ont exploités ce retrait pour se réorganiser et s’infiltrer à nouveau dans les villes, commettant des assassinats, des actes terroristes, ce qui a obligé les forces armées à se réinstaller dans les villes afin de protéger les citoyens.
Affirmant que la Syrie a approuvé la mission de l'émissaire de l'Onu pour la Syrie, Kofi Annan. Rappelant le nombre d’action appliquée par l’autorité syrienne pour manifester sa bonne intention à l'égard du plan d’Anna, notant que malgré cela la violence des groupes terroristes armés se poursuit.