Avec l'incertitude persistante dans la situation en Syrie, et la poursuite de l’écoulement du sang en Syrie et au Bahreïn, une situation critique a émergé Egypte celle du massacre lors d’un match de foot qui a souligné la gravité du problème égyptien.
Alors que le Liban est toujours pris par les interactions politiques internes, accompagnées des menaces d'une nouvelle série d'assassinats.
À-propos de la ville d’al-Qods (Jérusalem) les savants ont rappelé aux Arabes et aux musulmans leur devoir envers cette ville sainte et leur ont demandé d'être digne de cette recommandation, affirmant que si la cause palestinienne s’effondre, tous les causes arabes et musulmanes la suivront, les unes après les autres.
Cheikh Maher Hammoud, a appelé ceux "qui font face aux sérieuses tentatives de réforme à donner une alternative, ou qu’ils soient eux-mêmes les réformateurs, sinon leurs positions négatives n’auront aucunes valeurs, et les vraies raisons de l’opposition aux reformes vont apparaitre » Soulignant que "le plus grand crime commis contre la patrie et la coopération avec une nation étrangères pour accéder à la justice, la liberté et la démocratie."
Son éminence a signalé que «l'histoire témoignera sans doute que ceux qui prétendent vouloir des réformes en Syrie, assassinent, torturent et kidnappent des citoyens, et commettent des actions qui dépassent, les mauvaises pratiques, dont ils accusent le régime en Syrie, cela est plus évident dans les tentatives persistantes d’internationaliser la crise et à la mendicité pour une intervention étrangère. »
À son tour, son Eminence Cheikh Afif Nabulsi, a souligné que "nous témoignons d’une lutte constante entre les dirigeants des partis libanais qui affaiblissent ce pays, surtout qu’il au centre de crise politique mondiale pouvant l’affecter et y semer des conflits confessionnels »
D'autre part il a comparé les événements de Syrie et ceux du Bahreïn, notant que «les forces du régime bahreïni continuent à cibler les civils en utilisant le feu contre des manifestants pacifiques réclamant les droits humains les plus fondamentaux, ce qui a conduit a de dizaines de morts, des centaines de blessés et des nombreuses d'arrestations, sans aucune action internationale, ou couverture médiatique, ou soutien politique », signalant que « la révolution bahreïni est une révolution des opprimés, et le monde ignore la réalité de la situation là-bas, alors que toutes les lumières sont fixées sur la Syrie, et le monde entier est en mouvement contre la Syrie, car elle incarne l'acte de résistance en parole et en acte, l'appui mondial est claire par le fournissement d’armes, de financement, médiatique et politique énorme ".
Pour sa part, Sayyed Ali Fadlallah a signalé que " la Ligue arabe a décidé de fermer les yeux, et les oreilles en vue de tout ce qui se passe à la population du Bahreïn." Appelant à l'approche objective de la crise au Bahreïn « car la poursuite de la crise n’est pas dans l’intérêt ni du peuple ni du régime ».
D'autre part, Fadlallah a dit que la chute de la cause palestinienne, causera la chutes des projets arabes les unes après les autres ». S’adressant aux arabes et aux musulmans il leur dit : « Vous devez être digne de protéger la cause palestinienne, et précisément al-Qods cela doit se dire clairement dans le Conseil de sécurité et dans tous les autres rassemblements mondiaux, dans ce monde qui ne respecte que les forts, qui méprisent tout ceux qui s’affaiblissent"
Son Éminence a mis l'accent sur «la réouverture du dialogue afin d’éloigner le spectre de la guerre civile en Syrie », en disant que nos cœurs ont englouti de douleur sur l'Egypte et sur les victimes qui sont tombées lors de la compétition sportive.
Et loin des événements sanglants qui ont eu lieu en Egypte, il fait appel aux dirigeants politiques au Liban, à trouver les meilleures façons d'épargner le pays une crise majeur, appelant à tirer l’attention sur le problème sécuritaire qui a commencé à perturber le sommeil des libanais.
Pour sa part, le mufti Jaafari cheikh Ahmad Kabalan a déclaré: «Nous sommes tous dans le risque si vous n’arrêtez pas immédiatement les querelles politiques."
Le Mufti a appelé "Tout le monde à régler immédiatement les problèmes et mettre fin à cette haine et ces pratiques irresponsables." Son Eminence a également souligné que «la Syrie était forte et restera toujours, malgré tous les complots contre elle provenant de l'Occident et de certains pays Arabes, malheureusement."
Le vice-président du haut conseil islamique chiite Cheikh Abd al-Amir Kabalan a demandé de "stopper le sang versé en Syrie, et au Bahreïn, demandant à tout le monde d’être juste, parce que l'injustice détruit tout le monde."