« Je résiste, donc si j’existe » cette formule a annulé celle de «je négocie donc je n’existe plus » et le sens de l'existence a été reliée par la résistance, pleine de dignité, d'honneur et de fierté, une résistance qui a appris des leçons de Karbala et les appliquées dans un monde, qui croit que le pouvoir est aux plus forts.
Les orateurs des discours du vendredi ont félicité le monde arabe et islamique pour le jour de la Libération en affirmant que toutes les tentatives visant à saper le trinôme l'armée la résistance et le peuple ont échoué. Les hommes religieux ont condamné d’une part l’enlèvement des pèlerins libanais par des rebelles syriennes et d’autre part l’attentat terroristes qui a causé la mort de trois libanaises sur le territoire irakien, qui étaient sur leur chemin pour visiter l'imam Hussein (P) en Irak, soulignant que ces deux incidents sont le prix de la résistance et de la victoire. Appelant à ne pas emmener le pays dans une spirale de chaos et de vide sécuritaire.