Seul le territoire libanais a été libéré par la résistance.
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Le premier ministre libanais Najib Mikati a affirmé que les armes de la résistance libanaise le “Hezbullah” sont sacrés pour affronter l’ennemi israélien.
Dans une interview à la nouvelle chaîne arabe al-Mayadin, Mikati a souligné que l’armement du « Hezbullah » a été la conséquence de l’occupation israélienne du territoire libanais, et il a réussit a prouvé son intérêt et son utilité avec la libération du territoire libanais occupé par les israéliens, notant que seul le territoire libanais
a été libéré par la résistance.
A propos de l’appel du secrétaire général du « Hezbullah » a formé une générale pour le dialogue national, le premier ministre libanais a déclaré que « le gouvernement étudie toute les propositions visant à compléter la mise en œuvre de l'Accord de Taëf», notant qu’il existe plusieurs articles dans l’accord du Taëf qui ne sont pas encore mis en œuvre, et dans le cas ou il y a une possibilité de les modifier, nous ne voyons pas d’inconvénient a le faire ».
Mikati a également souligné que «certains essaient d’attirer les libanais vers les conflits sectaires, soulignant que grâce à l'intervention des sages la sédition aurait débuté », ajoutant que tout conflit sectaire sera coûteux pour tous.
Pour sa part, le président du parlement libanais Nabih Berri a affirmé au journal libanais al-Safir que la résistance libanaise est un honneur et une dignité pour tous, signalant qu’ « il n’y a aucune turpitude et aucun mal dans la discussion de la stratégie de défense pour fortifier le Liban face à l’ennemi sioniste, notamment après les manœuvres militaire faites par l’ennemi sioniste dans les fermes de Chebaa occupées, et dans le territoire palestinien occupé, en prévision d'une guerre future avec le Liban », regrettant la remise en question de l’arme de la résistance par cetain.
M. Berri a d’autre part noté que l’ambiance de la première session du dialogue nationale était bonne et utile, signalant que ce qui s’est passé dans la ville de Akar il ya quelque jours et par lui-même une bonne raison pour reprendre le dialogue national.
Notant que la réunion des différents partis politiques libanais sur une même table favorise une atmosphère positive dans le pays.
De son coté, le président de la république libanaise, Michel Sleimane, a affirmé son rejet de l'établissement d'une zone tampon, aux frontière syro-libanaises ou de faire du Liban un passage ou un foyer pour le trafic d'armes et l'infiltration des éléments armés vers la Syrie.
Insistant sur la nécessité de mettre le Liban à l'écart de "la politique des axes" et des conflits régionaux et internationaux, et ceci, "pour son intérêt suprême, son unité nationale et sa paix civile".