Mahmoud al-Rabi’i, porte-parole du mouvement Asaib Ahl al-Haq en Irak, lié au Hachd al-Chaabi, a réagi le samedi 16 mars au rapport du département d’État américain qui a accusé les combattants des Hachd al-Chaabi de meurtres.
Si le projet du 5e mandat de l’actuel président ne semble plus défendable en Algérie en raison des milliers de manifestants qui sont sortis pendant trois vendredis consécutifs, les grandes manœuvres ont commencé dans les coulisses pour préparer l’après-Bouteflika.
En Irak, la visite qualifiée d’historique du président Rohani monopolise toutes les intentions. Non pas seulement celles des amis de la Résistance pour qui il s’agit d’un « tournant ultra stratégique » après les victoires consécutives de l’axe de la Résistance ces dernières années, mais aussi celles des ennemis de la Résistance qui sentent un danger ...
Le président sortant algérien Abdelaziz Bouteflika a annoncé, ce lundi 11 mars, le report de l'élection présidentielle prévue pour le 18 avril. Il a également renoncé à briguer un 5ème mandat, ajoute l’agence de presse Tasnim citant la chaîne Al-Jazeera.
La visite du président iranien en Irak dans le contexte actuel du Moyen-Orient bénéficie d’une grande importance et envoie un message aux États-Unis et à d’autres pays de la région.
La différence est trop flagrante : le président US se rendait en catimini au mois de décembre sur une base militaire dans un pays et au delà dans une région où de son aveu, les États-Unis ont perdu jusqu'ici quelque 7 000 milliards de dollars: " Tout cela et le président US n'ose même pas s'afficher en public". Ce pays est l'Irak qui accueille ce lundi ...
Vendredi, le secrétaire général du Hezbollah libanais, Seyyed Hassan Nasrallah, a réagi au déploiement par l’armée américaine, la semaine dernière, de son système de défense antimissile THAAD en Palestine occupée.
La position de l’Italie envers l’initiative « Une Ceinture et une Route » de la Chine n’est pas du goût de Washington, qui lui demande de ne pas soutenir et donc de ne pas légitimer le projet chinois.
Un ancien diplomate et chercheur à l'Université de Princeton dans un article publié sur le site Lobelog a déclaré que la liste des demandes de Mike Pompeo recycle simplement plusieurs des mêmes politiques et déclarations coercitives des administrations américaines passées.
Le semencier français Vilmorin, a déclaré mardi qu'il poursuivait ses exportations vers l'Iran avec le soutien d'une banque française, et participera aux efforts visant à mettre en œuvre un système européen pour éviter les sanctions américaines visant le commerce avec Téhéran.
Les revenus tirés du transit des marchandises de l'Iran, selon les dernières statistiques, ont enregistré une hausse de 14% au cours des dix premiers mois de l'année vicile en cours par rapport à la même période de l'année précédente.
L'Iran et la Suisse ont signé un accord sur le développement de la coopération afin de partager des expériences et un savoir-faire dans les domaines de l'agriculture et de la recherche, de la technologie, des méthodes modernes d'éducation et de l'adaptation au changement climatique.
L'UE a décidé d'instaurer un système de troc pour pouvoir continuer à commercer avec l'Iran, notamment pour l'achat de pétrole, et échapper ainsi aux sanctions américaines. Une initiative qui vise aussi à préserver l'accord sur le nucléaire iranien.
Le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, a mis en garde ce vendredi 8 mars, contre les ingérences étrangères dans les affaires intérieures vénézuéliennes et les sanctions contre le Venezuela, dans lesquelles il voit « la répétition des voies catastrophiques ».
La toute nouvelle réunion de la Commission mixte de l’accord nucléaire iranien se tiendra mercredi 6 mars à Vienne avec la présence des hommes politiques d’Iran et du groupe 4+1 (Russie, France, Chine, Royaume-Uni et Allemagne).
Dans un geste inamical, les Pays-Bas ont expulsé le 7 juin deux diplomates iraniens. Se réservant le droit de riposter à une décision illogique et illégitime, Téhéran riposte et expulse deux diplomates néerlandais.
Le chef de la diplomatie britannique Jeremy Hunt a effectué dimanche une rare visite à Aden au Yémen, ville sous contrôle du gouvernement démissionnaire du président Abd Rabbo Mansour Hadi. Dans un message vidéo posté sur Twitter, il s’est dit inquiet de l’intensification des combats dans ce pays.